Une note de lecture de Patrick Joquel sur Habillé de son corps de Romain Fustier.
Comment parler d’amour sans tomber dans le cliché convenu ? D’amour au corps à corps. En accord. Avec son poids de chair. Sa douceur des peaux frottées comme silex jusqu’à l’étincelle et la flamme. Ses bruits. Ses sueurs. Et son bien être ensuite. Comment donc ? Je ne saurais le dire mais en revanche Romain Fustier y réussit parfaitement.
Ses 26 petits pavés de prose sont autant de moments suspendus dans les halètements du désir et la chaleur de la rencontre. Autant d’ancrages dans ce qui constitue notre humanité dans sa part la plus vivante : se reproduire autant que se donner l’un à l’autre dans le partage des plaisirs.
Cela nous habille oui. A la perfection.
Un livre d’une énorme humanité, d’une immense et tendre douceur !
Ses 26 petits pavés de prose sont autant de moments suspendus dans les halètements du désir et la chaleur de la rencontre. Autant d’ancrages dans ce qui constitue notre humanité dans sa part la plus vivante : se reproduire autant que se donner l’un à l’autre dans le partage des plaisirs.
Cela nous habille oui. A la perfection.
Un livre d’une énorme humanité, d’une immense et tendre douceur !