L'émotion bascule en langue

Premier à dégainer une note de lecture sur le dernier numéro de la revue : Jacques Morin. C'est sur le site de la revue Décharge et c'est encourageant.

La solide revue de nos amis Amandine Marembert et Romain Fustier donne son n° annuel juste pour les étrennes. Toute une hiérarchie de poètes invités au sommaire, en tête desquels : Ariane Dreyfus (Seul en plein champ / Le pommier lance son geste compliqué), puis Ludovic Degroote, Franck Cottet, Patricia Cottron-Daubigné, Christian Garaud, Corinne Le Lepvrier, entre autres… La revue innove encore puisqu’elle met en place une nouvelle rubrique avec une question posée à quatre poètes sur l’écriture, et Antoine Emaz de répondre avec sa lucidité habituelle : Il y a donc quelque chose de mystérieux dans ce qui fait que l’émotion bascule en langue. Son texte mêlé à ceux de Patricia Cottron-Daubigné, Etienne Paulin et Jasmine Viguier éclaire l’interrogation de départ et enrichit encore la livraison.