
Luce Guilbaud : "un musée de peintures sensuelles dédié aux femmes. De Vénus à Ophélie, les femmes sont une seule femme, obsessionnelle, incarnat et incarnée, celle que le peintre veut représenter".
Cécile Guivarch : "une langue âpre et pudique. Il s'agit de sauver quelques images, quelques sensations".
Sophie G. Lucas : "très beau texte d'attente, de froid, de drame et de gestes silencieux".
Jasmine Viguier : "fait subtilement entrer le lecteur dans une géographie intérieure, une géographie où le climat serait cousu aux sentiments, où la pluie délaverait mieux les humeurs que le paysage, où la dépression intérieure s'accorde parfaitement avec celle du ciel".